Et voilà : après deux heures à me demander dans le sang de quelle bestiole j’allais écrire mon journal (mon chacha à réussi à s’échapper du Havre-sac à temps, c’est malin ces bestioles, il a tout de suite compris pourquoi je le regardais comme ça) quand j'ai eu une idée géniale : j’ai décidé d’utiliser mon propre sang. Pour mon journal ça ajoute une petite touche perso qui me semble être du meilleur goût.
Deuxième jour à Sufokia:
Ce matin je me suis levé du bon pied : un des hameçons que j’avais dispersés dans mon lit était tombé par terre plutôt que de se planter dans ma peau et en me levant j’ai marché dessus. J’ai passé au moins cinq minutes à arracher tous les hameçons, le vieux pêcheur ne s’était pas moqué de moi, ça fait vraiment très mal.
Je me suis ensuite mis en route pour le mont Zinit où se trouve soit disant des montres tous plus affreux et dangereux les uns que les autres et ou j’ai passé la journée à tabasser des brigands miteux qui confondent faire mal et chatouiller… Bref je me suis ennuyé ferme. J’ai piqué ses bottes et son chapeau à l’un d’entre eux et j’ai ramenés quelques rochers tranchants pour mon matelas histoire de ne pas avoir fait le voyage pour rien.
Je suis revenu vaguement frustré à la taverne de Sufokia où j’ai eu la bonne surprise de retrouver la bande qui m’a accepté dans son sein dès mon arrivée : les Dévots de la Chopine.
J’ai commencé à me plaindre de ma journée pourrie à Mawell la Iop qui m’a tout de suite compris et m’a proposé un petit « massage spécial Iop». Elle m’a plié en deux en 30 secondes, j’ai pris une raclée mémorable. Même pour une Iop elle tape comme une brute, J’ai senti un ou deux trucs craquer en moi. Je crois que je lui plaît. Ou alors elle tape toujours aussi fort, avec les Iop on ne sait jamais.
J’aime bien le barman aussi, un écaflip discret qui ne dit jamais rien mais qui me laisse boire à l’œil depuis deux jours.
Ensuite on est allé sur la terrasse et le barde des dévots s’est mis à jouer à chanter. Il a la cote auprès des filles celui là. En même temps elles avaient bu... Je me souviens pas trop de la suite sinon que je l’ai surpris en train de regarder les sous-vêtements de Zamiastine comme moi par dessous la table. Je me suis dit que finalement c’était sûrement un type sympa, même si barde pour un sacrieur c’est un passe-temps bizarre. De là où il était assis il avait même vue sur ceux de Chuang-Mu, le veinard...
Faudra bien que je planque ce journal si je commence à raconter tous ces trucs dedans. Bon allez je dine et au lit !
Je viens de me souvenir que le chacha s’est échappé du havre sac, donc pas de diner pour moi ce soir. J’ai pas mangé depuis que j’ai quitté Brâkmar, juré demain je me fais du pain. Allez au dodo, où est-ce que j’ai mis les hameçons déjà ?
Deuxième jour à Sufokia:
Ce matin je me suis levé du bon pied : un des hameçons que j’avais dispersés dans mon lit était tombé par terre plutôt que de se planter dans ma peau et en me levant j’ai marché dessus. J’ai passé au moins cinq minutes à arracher tous les hameçons, le vieux pêcheur ne s’était pas moqué de moi, ça fait vraiment très mal.
Je me suis ensuite mis en route pour le mont Zinit où se trouve soit disant des montres tous plus affreux et dangereux les uns que les autres et ou j’ai passé la journée à tabasser des brigands miteux qui confondent faire mal et chatouiller… Bref je me suis ennuyé ferme. J’ai piqué ses bottes et son chapeau à l’un d’entre eux et j’ai ramenés quelques rochers tranchants pour mon matelas histoire de ne pas avoir fait le voyage pour rien.
Je suis revenu vaguement frustré à la taverne de Sufokia où j’ai eu la bonne surprise de retrouver la bande qui m’a accepté dans son sein dès mon arrivée : les Dévots de la Chopine.
J’ai commencé à me plaindre de ma journée pourrie à Mawell la Iop qui m’a tout de suite compris et m’a proposé un petit « massage spécial Iop». Elle m’a plié en deux en 30 secondes, j’ai pris une raclée mémorable. Même pour une Iop elle tape comme une brute, J’ai senti un ou deux trucs craquer en moi. Je crois que je lui plaît. Ou alors elle tape toujours aussi fort, avec les Iop on ne sait jamais.
J’aime bien le barman aussi, un écaflip discret qui ne dit jamais rien mais qui me laisse boire à l’œil depuis deux jours.
Ensuite on est allé sur la terrasse et le barde des dévots s’est mis à jouer à chanter. Il a la cote auprès des filles celui là. En même temps elles avaient bu... Je me souviens pas trop de la suite sinon que je l’ai surpris en train de regarder les sous-vêtements de Zamiastine comme moi par dessous la table. Je me suis dit que finalement c’était sûrement un type sympa, même si barde pour un sacrieur c’est un passe-temps bizarre. De là où il était assis il avait même vue sur ceux de Chuang-Mu, le veinard...
Faudra bien que je planque ce journal si je commence à raconter tous ces trucs dedans. Bon allez je dine et au lit !
Je viens de me souvenir que le chacha s’est échappé du havre sac, donc pas de diner pour moi ce soir. J’ai pas mangé depuis que j’ai quitté Brâkmar, juré demain je me fais du pain. Allez au dodo, où est-ce que j’ai mis les hameçons déjà ?